C'est le titre de l'article de Marie Lechner trouvé ce matin sur libération.fr. Transgressif et innovant, le graffiti ne pouvait plus longtemps se limiter à l'usage de bombes de peinture:
"Depuis le 7 mars (et jusqu’au 1er avril), le Graffiti Research Lab (GRL), a déclaré New-York « Ville ouverte ». Les murs et les rues de la ville ont été pris d’assaut par des grapheurs, pochoiristes, taggeurs, mais également par des activistes et des performeurs urbains qui se réapproprient l’espace public de manière ludique ou critique. Une exposition au laboratoire nouveaux médias Eyebeam, dans le quartier de Chelsea, documente les actions d’une dizaine d’entre eux, et propose des ateliers dévoilant les outils et tactiques mises en place par les artistes, hackers, performeurs pour « reprendre possession de leur ville par tous les moyens ». Pour ceux qui ne peuvent se rendre dans la Grosse Pomme, le site regorge de vidéos qui retracent les actions souvent spectaculaires de ces artistes du bitume." Lire la suite ...
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
No comments:
Post a Comment