Wednesday, March 21, 2007

Mode, beauté et mensonges dangereux

On en a déjà parlé. La mode devient de plus en plus dingue d'essayer de faire croire aux filles que la norme c'est de ressembler aux poupées de magazines. Les poupées de magazines sont irréelles, qu'on se le dise. Pour s'en convaincre, ce petit film très bien foutu qui prouve que les canons actuels de la mode et de la beauté sont tels que le couple, maquilleur/coiffeur ne suffit plus à rendre les jeunes filles belles. Pour satisfaire les nouvelles exigences des Fashion Dealers", il faut maintenant se fier au doigté du retoucheur (photoshopeur).



Comme selon nous, un message même le plus sérieux, ne passe jamais aussi bien qu'avec un peu d'humour, nous tenons à féliciter les auteurs du petit film suivant. Une parodie géniale d premier qui enfoince encore un peu (beaucoup) plus le clou.

Spiderman arreté en Malaisie


Spiderman, c'est Alain Robert, un français fou d'aventure et de liberté qui s'est fait une spécialité dans l'escalade des plus hautes tours du monde à mains nues. Oui à main nues! Sans filet! Le Français de 44 ans a été stoppé par des pompiers au 60e des 88 étages de l’une des tours jumelles Petronas à Kuala Lumpur, parmi les plus hautes au monde. Le grimpeur a alors déployé un drapeau malaisien, sous le regard de centaines de badauds. « Il était en train d’escalader quand nous l’avons convaincu de s’arrêter et de rentrer dans l’édifice. Il s’est mis à sourire, a dit “OK” et a brandi un drapeau malaisien avant que nous l’attrapions », a indiqué un porte-parole des pompiers. Allez voir son site, ne skippez pas l'intro, certaines images sont réellement bluffantes. Un grand bol d'air, de bonne humeur et de simplicité.

Graffiti Research Lab: les photons de trouble.

C'est le titre de l'article de Marie Lechner trouvé ce matin sur libération.fr. Transgressif et innovant, le graffiti ne pouvait plus longtemps se limiter à l'usage de bombes de peinture:
"Depuis le 7 mars (et jusqu’au 1er avril), le Graffiti Research Lab (GRL), a déclaré New-York « Ville ouverte ». Les murs et les rues de la ville ont été pris d’assaut par des grapheurs, pochoiristes, taggeurs, mais également par des activistes et des performeurs urbains qui se réapproprient l’espace public de manière ludique ou critique. Une exposition au laboratoire nouveaux médias Eyebeam, dans le quartier de Chelsea, documente les actions d’une dizaine d’entre eux, et propose des ateliers dévoilant les outils et tactiques mises en place par les artistes, hackers, performeurs pour « reprendre possession de leur ville par tous les moyens ». Pour ceux qui ne peuvent se rendre dans la Grosse Pomme, le site regorge de vidéos qui retracent les actions souvent spectaculaires de ces artistes du bitume." Lire la suite ...